Histoire RPG mafieux

Bonjour/Bonsoir, j'ai décider d'organiser un petit concour que je trouve pas mal : il faut créerla plus belle histoire qui a un rapport avec le RPG mafieux, le gagnant ce verra attribuer la somme des 20 magots par mes soins, voici quelque exemple pour vous donner de l'inspiration.
Texte sous Copyright :

Chapitre I

"Comment t'appels tu petit renard..."

Je vous présente ici le background de mon personnage. Pour l'instant, la rédaction comporte trois chapitres. Je vous propose un petit teaser avec quelques images juste pour le plaisir. Ensuite, place à la lecture. N'hésitez pas à laisser des commentaires, les critiques sont toujours positives.
La pluie tombe lentement en ce soir sombre. Le sol est acculé par la douce brise, les flaques de pluies frémissent laissant des vagues d'amertumes sur celles ci. Au loin quelque chose s'approche, les bruits sonnent dans la rue déserte comme plusieurs coups de tambours battants, chaque pas perfore le sol d'un coup sec infligé au bitume. Le bruit court dans la nuit, et brutalement la personne chute lourdement sur le sol, sa tête embrasse la flaque d'eau avant que l'os de son crane se fracasse contre la pierre mais tel un spartiate de l'ancien temps il se redresse et reprend sa course. La personne court. Quelque chose la poursuit, il est seul dans la nuit. Son ombre me fait penser à celle d'un singe, petit et habile, un enfant peut être, un macaque face à deux gorilles, son destin est tout tracé, pauvre enfant.
La nuit masque les soupirs, mais le ciel lui semble en colère en ce soir de noël. La pluie est devenue battante, pire, ce ne sont plus des gouttes qui tombent du ciel mais des grêlons. Son souffle s'écourte, il passe devant chaque ruelle, et chaque pas est un pas de plus vers une mort certaine. La nuit masque les soupirs, mais la terre elle est en colère en ce soir de noël. Voilà que notre jeune bambin se ramasse une fois de plus. Cette fois ci, le craquement de son bras est sourd, l'os se démantèle à l'intérieur de la chair et son cris perce la nuit. La douleur envahit ses membres, il hurle comme un loup parle à la lune, ses yeux s'exhortent or de leurs emplacement, sa tristesse est acculée. Le jeune bambin se redresse portant son bras comme un très lourd fardeau pour un enfant de son âge, il avance encore quelques mètres puis tourne au prochain coin de rue. Il avance dans la noirceur du paysage et devant lui se dresse un mur, un éléphant de pierre l'empêchant de continuer sa route. Exténué les agresseurs s'avancent vers le gamin, ils l'ont enfin rattrapé. Le destin joue parfois des tours, la roue tournait enfin. Le jeune homme reculait mais dans ses yeux impossible de lire la peur, du courage, dans une telle situation, on ne peut que lever les yeux au ciel et contempler la beauté du paysage. Le premier homme s'avance. Il accule le jeune homme et pointe un long Luger Parabellum magnifiquement brillant, on dirait que le temps n'a pas laissé d'empreinte sur l'acier de l'arme. Le voyou appuie sur le front du gamin. Les yeux du petits ne tremblent pas. On distingue ses yeux jaunis par l'envie d'en finir. Soudain l'homme tourne la tête vers son comparse puis balance des mots sans queues ni tête.
Homme : " Il a des yeux de renards le gamin, il croit m'impressionner "Dit-il.
Le silence prend son droit, puis son compagnon lui répond d'une voix sèche.
Homme : " Finis le vite, ma femme m'attend. De toute manière, on ne sait même pas pourquoi on le tue le gamin. Apparemment c'était le fils d'un gars de la mafia, tu sais laquelle. C'est peut être pour ça..." Aboyait-il.
L'homme se caressait le menton, il était aussi bobbae qu'une poule dans un poulailler, qu'un poisson qui tourne dans un aquarium oubliant toutes les trois secondes le sens de sa vie. L'autre homme, le prédateur à l'arme violente, mit un violent coup de poing au jeune homme qui sentit sa mâchoire se fracasser sous l'impact. Il tomba sur le sol et se releva avec le visage tuméfié. Il s'appuya contre le mur et reprit sa place. Quel force de mental pour un enfant de son age devait se dire l'homme. Il sourit alors de son sourire pervers puis il pressa la détente...Un coup de feu retentit dans la nuit brisant le silence et faisant même stopper la pluie. La balle sortit de nulle part, un coup de feu précis qui percuta le bras du gorille. Le sang gicla fort lorsque la petite pièce de métal pénétra la chair et le sang de la victime. Un deuxième coup de feu retentit, cette fois ci la tête du gorille explosa sous l'impact, à l'intérieur de son crâne son cerveau avait été violemment percuté par la balle. Le gorille s'effondra mort sur le coup. Un troisième et dernier coup de feu retentit. La balle frappa l'homme qui était resté en retrait, la balle lui enfonça le cœur brutalement, l'aorte explosa d'un coup sec faisant jaillir dans son corps une hémorragie sanglante sans précédents. Une ombre apparus alors face au gamin qui ne comprenait pas. L'homme lui saisit le bras d'une poigne forte. Ses yeux étaient si doux pour quelqu'un qui avait tué deux personnes, impossible de voir à quoi il ressemblait tant la nuit était épaisse et le brouillard épais. L'homme s'arrêta plusieurs coins de rues plus tard, les sirènes de police étaient déjà là et soufflaient leurs mélodie en ce jours bénit par l'histoire. Alors la voix de l'homme se mit à retentir.
Bart :" Tu es orphelin n'est ce pas petit ? Tu as eu du courage tout à l'heure, toi et tes petits yeux de renards. Je t'emmène vers ta nouvelle famille, tu ne connaitras plus la faim, la soif ou la peur...Au fait, appel moi Bart, je ne veux pas savoir ton nom, tu répondras à celui de renard."Dit-il.Puis ils disparurent tous les deux au fin fond de la nuit sans laisser de traces. Ainsi la vie du petit renard pouvait enfin commencer...


Chapitre II:


Aujourd'hui, je vous livre le deuxième chapitre que certains ont déjà pu lire depuis un moment, très vite vous aurez droit au troisième chapitre. Bonne lecture, merci pour les avis même les moins constructifs. Cette nuit là était particulièrement longue. Bart de son nom, me tenait fermement le bras comme si il avait peur que je m'enfuie même si je n'en avais aucunement l'intention. Notre course fut périlleuse, je me souviens être mal retombé après avoir tenté d'escalader ce petit muret en vieille brique usée, j'ai sentis à ce moment là le sol se dérober lorsque mes jambes tentèrent de se reposer sur la terre ferme. Finalement, après cette course interminable, nous nous arrêtions devant un vieux bâtiment délabré. L'atmosphère était angoissante, la nuit me tenait par le cou de son étreinte et m'empêchait d'émettre par la bouche le moindre son, pas même le commencement d'un long soupir. Je compris alors qu'il ne fallait pas que je parle, en avais-je même l'idée ? L'incompréhension, elle m'ôtait simplement les mots de la bouche. Je vis alors Bart me faire un signe de la main comme pour me dire de ne pas bouger. Je le voyais disparaitre dans la nuit. L'attente était interminable, j'entendais au loin les aboiements de chiens dont la lune berçait l'existence, sinon, j'écoutais le long silence, impénétrable et immuable lorsque l'incompréhension se mêlaient à l'inquiétude. Partir et sauver ma peau ? Pour aller où ? Je n'avais ni toit, ni amis. J'étais ce renard solitaire, vivant par la ruse et le vol, un petit garnement comme on m'appelait souvent en ville. Partir pour ma liberté ? Avais-je simplement envie de rester libre ? N'en avais-je pas déjà trop vécus pour un enfant de quelques années à peine ? Mes pensées animaient l'obscurité. Toujours rien, pas le moindre signe de Bart, m'avait-il abandonné ? Peut être, après tout, nous n'étions pas lié, pas à cet instant précis en tout cas. Mes jambes se faisaient lourdes, je m'appuyais soit sur ma jambe gauche et mettait mon épaule sur le muret, soit l'inverse.L'immeuble était vieux. Le jardin était assez macabre, une balançoire brisée. Une peluche pour gamine de riche qui jonchait le sol, un étrange " 442 " qui ornait l'entrée de la demeure dont le portail fermait l'accès, je ne vous l'avais pas dis ? Bart a escaladé le mur comme un véritable chat. C'est peut être aussi pour ça que je ne pouvais pas le suivre, m'entendez vous ? J'étais pour lui aussi, une sorte de boulet. Le silence si angoissant se pérennisait, une seconde équivalait à une heure d'attente, j'avais l'impression d'avoir vieillis de plus de trente années. Je m'impatientais, lorsque d'un seul coup. Un coup de feu retentit, puis soudainement un deuxième. Mes sens s'affolèrent, lorsque mes yeux se plissèrent pour voir Bart courir, une mallette à la main. Il saignait de son bras gauche et sauta par dessus la barrière comme une panthère à qui on vole l'enfant. Il m'empoigna et me somma de courir aussi vite que je le pouvais. Deux hommes sortirent de la baraque. Ils nous pourchassèrent mais jamais ils ne purent nous rattraper. Bart s'appuya alors contre un muret, son bras saignait abondamment, une balle reçus de plein fouet en plein dans l'acromion claviculaire, nul doute que la balle ne laissera pas qu'une simple cicatrice externe superflu. Il se redressa puis nous dévalèrent une longue rue, une longue pente où les voitures étaient soigneusement garée sur les lignes du trottoir. Nous nous approchâmes d'une voiture noirâtre. Un vieux modèle. Les voitures, je les admirais, je révais depuis plusieurs mois de pouvoir ne serais-ce que de monter dans l'une d'elle. Un rêve se réalisait. Je toisais le bras de Bart d'un regard attristé, puis il me sourit et me dis à voix basse.Bart : " Allez grimpe, grouille toi le jours se lève. C'est rien ça, juste une..une belle égratignure "Dit-il refermant la porte de sa portière.Il sortit alors une trousse noir puis enleva son Tee shirt avant d'entourer son bras d'une bandelette blanche. Il fit ça rapidement, à vrai dire, j'avais l'impression que la plaie était toujours grande ouverte, il avait fais ça tellement vite...Quelque chose le pressait, mais quoi ? Il démarra la voiture dans un cliquetis de petite clé qui me faisait frémir à l'avant de la voiture. Il pressa la pédale, puis la route se fit écraser par les roues de l'engin. Une bonne heure, c'est le temps qu'il nous fallu pour rejoindre de nouveau un autre bâtiment délabré, mais celui ci était différent. Situé à l'écart de la ville, il respirait une atmosphère sereine, il inspirait le respect et la sécurité. Je posais le pieds dans le jardin. Les immenses lampadaires guidaient mes pas vers l'immense porte du petit manoir. Je poussa la porte. Mes chaussures dégurgitèrent alors un épais nuage de boue sur le sol. Bart me saisis par le bras et me fis pénétrer de force dans le bâtiment. Le froid de l'extérieur disparus d'un seul coup, une odeur de cigarette flottait dans l'air. Je n'avais même pas le temps de m'attarder sur les détails de ce lieux, je ne pu qu'entre apercevoir une simple lettre entourait par un symbole, la lettre " L ". Nous pénétrâmes une salle ou jouaient une personne aux lunettes noires au billard. Il fixait la boule et d'un coup de queue il envoya la boule directement dans le trou diagonal, un coup de génie. A ses côtés se tenaient une fille aux airs gotiques et un homme aux cheveux rasés qui gardait son calme et semblait si sérieux que même la mort ne semblait pas l'effrayer. Justement cet homme se mit alors à parler. Il possédait sur la tête un chapeau orné d'argent si j'ai écris qu'il possédait les cheveux rasés, c'est que du chapeau ne dépassait aucuns cheveux. Son nom ? Je ne le connaissais pas à cet instant précis, plus tard j'appris qu'il répondait au nom de Francky Masseria. Ce dernier parla d'une voix voilée et mielleuse. Il semblait chagriné et déçus.
Francky Masseria : " Bart, bart, bart... Non seulement tu te fais blessés, mais en plus tu as apparemment fais foirer la mission...Quelle déception lorsque monsieur Ju.. "Dit-il se retournant d'un seul coup.
Un homme entra dans la pièce. Il possédait l'aura de la sagesse. Son pas était hâtif, ses yeux masquaient par une paire de lunette très classe. Une montre autour du poignez et une veste marron de haute couture. J'avais remarqué que l'homme qui jouait au billard et ce Francky possédaient les mêmes tenues. Une sorte de costume verdâtre ornés de boutons gris. Lui il était différent, je sentis quelque chose me montait dans le corps, il me donnait la chair de poule, son nom ? Juninho. Du moins c'est comme ça qu'il se faisait appeler. Il s'avança alors vers Francky qui du courber l'échine, il s'approcha alors de Bart qui était resté silencieux. Puis il mit sa main sur mon épaule.
Juninho : " Laisse un peu ce cher Bart tranquille. Il a fais un choix, enfin si on peut appeler ça un choix. Bon au moins tu m'as ramenés l'argent, pour les mecs de la Cosa, c'est pas grave, ça devait arriver de toute manière. Puis, on a toujours le garçon. D'ailleurs, j'aimerai que tu t'en occupes. Apprend lui les bases et présente le aux autres, maintenant il n'a plus d'autres choix que de rester ici...On ne peut pas se permettre de le laisser dehors avec ce qu'on raconte à son sujet..."Dit-il en relâchant mon épaule.Je n'avais strictement rien compris à ce qu'il venait de raconter, mais Bart lui souriait, était-ce bon signe ? Etais-je vraiment en sécurité ici ? Je commençais à douter, plusieurs yeux me toisaient dans l'obscurité. Ils avaient tous la même tenue, une secte ? Non, j'étais dans l'antre d'une véritable organisation criminelle...Pauvre de moi.
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Rom59552.

A vos plumes !

Hoùla, j'en ferais peut être une, bonne chance à vous x)

Je m'y met. :D

Voici une autre source d'inspiration :

Jeff ouvrit les yeux, et se retourna difficilement pour jeter un œil sur le cadran de son réveil. Il était huit heures du matin, et ça faisait très longtemps qu’il n’avait pas vu le soleil matinal. Ce n’était pas dans ses habitudes de se lever si tôt, mais aujourd’hui s’était spécial, il ne voulait pas décevoir sa famille. Son grand père lui avait dégoté un rendez-vous dans un petit hôtel sur la 3rd, dans le centre. Ils cherchaient un serveur d’urgence, pour remplacer le précédant qui était parti en dépression. ‘Encore un de ces jeunes fainéants qui ne savent pas ce qu’est le travail’, avait alors commenté son grand père paternel.
Dans un élan de courage, Jeff se redressa péniblement sur son lit Pura, puis chercha à tâtons ses lunettes sur sa commode. Au ralenti, il sortit de sa couette, et enfila un jean, le seul qui était encore dans un état raisonnable, entretien oblige. Il se dirigea vers la porte et prit la direction de la cuisine. Sa mère était là, en train de se battre avec l’emballage d’une HabboCola, qu’elle avait commandé chez Habkea.
« - Bonjour M’man, lui dit-t-il en l’embrassant.
- Bonjour mon fils », lui répondit-t-elle alors qu’elle luttait pour comprendre le chapitre 1 de la notice d’installation.
Jeff s’assit sur l’unique tabouret rustico qui tenait encore sur ses trois pieds. Sa mère lui avait préparé des tartines de cette fameuse pâte au chocolat qui recouvrait tous les panneaux publicitaires d’HabboCity.
« - Ton grand père a appelé, il t’attendra devant la porte de l’hôtel.
- Je n’ai pas besoin de lui, j’ai 18 ans et je suis assez grand pour parler avec l’inculte qui va me faire passer l’entretien. »
Sa mère soupira, mais se retint de faire une remarque. Elle savait que si son fils allait à ce rendez vous, ce n’était pas pour son plaisir, et que c’était seulement pour l’aider à payer ses factures. Lorsque son père était parti, il avait dû quitter l’école, pour aider sa mère financièrement. Sans diplôme, et à seulement seize ans, il s’était débattu pour obtenir un petit job dans un café, à quelques stations de métro de leur appartement familial. Mais celui-ci avait fait faillite deux ans plus tard et Jeff dû chercher un autre emploi.
C’est alors que son grand père lui avait raconté qu’un petit hôtel de quartier avait ouvert ses portes quelques jours auparavant, et qu’ils cherchaient quelqu’un pour le service au bar. Il avait accepté, même si sa dignité avait pris un coup.Après avoir nettoyé le chocolat qui avait coulé sur son jean propre, il alluma la télé portative rouge du salon. Il perdit deux minutes à régler de nouveau les antennes. Lorsqu’il comprit enfin les règles du jeu qui passait sur HabboTV, il parut scandalisé de voir que des gens s’étaient réveillés aussi tôt dans la matinée pour présenter une émission que personne ne devait regarder. Il parcourra brièvement le programme télé qui servait de cale à la table Rustico de la cuisine. Il zappa sur HabboNews, la chaîne d’information. C’était un reportage sur la criminalité dans les banlieues d’HabboCity, avec son lot de statistiques destinées à faire peur à la population.
« - Jeff, tu as vu l’heure ? » questionna sa mère.
C’est alors qu’il vit l’horloge en haut de l’écran. Il bondit du tabouret, prit à peine le temps de dire au revoir à sa mère, et se précipita dehors. Les rues étaient bondées de monde. La grève de la Compagnie des Habbobus ne l’arrangeait pas. Il était à dix minutes de la station de métro la plus proche, et s’il ne voulait pas rater le sien, il n’avait plus de temps à perdre. Au pas de course, il traversa la foule. Il s’imagina dans une fourmilière, à l’heure de pointe. Après quelques minutes de course contre la montre, il pénétra dans la station, essoufflé, mais à l’heure. A peine le temps de trouver un siège libre, que le métro s’engouffrait dans les catacombes de la ville.
C’est avec beaucoup de difficulté qu’il atteignit la porte de sortie, alors que le train ralentissait, à l’approche de la station où Jeff devait descendre.
Il remonta à l’air libre, et prit quelques secondes pour chercher sa destination sur un grand plan de la ville. Arrivé au coin de la 3rd Avenue, il aperçut son grand père qui l’attendait devant l’hôtel. Il s’était mis sur son 31. Costume et cravate noirs, chemise blanche, on aurait pu le prendre pour le portier. Jeff jeta un œil sur l’enseigne. HabboHotel. Ils n’ont pas dû mettre longtemps à trouver le nom, pensa t’il.
« - Bonjour Fiston ! Bien dormi ? demanda Sam.
- Mouais, répondit Jeff à son grand père, sans grande conviction.
- Le Directeur t’attend à la réception. Moi, je vais aller voir Pipo à sa pizzeria, c’est un vieil ami. On a travaillé ensemble il y a quelques années. »
Alors que Sam pénétrait dans l’ascenseur, Jeff se dirigea vers son bourreau du jour. Il était grand, imposant, d’une classe époustouflante. Le contraste avec son entourage était saisissant, voire risible. Mais Jeff n’avait aucune envie de rire, tellement le personnage était charismatique.
« - Bonjour, Monsieur, bafouilla t’il, alors qu’il venait d’atteindre le guichet d’accueil.
- Bonjour, Petit. Appelles moi Norman. Allez viens, Suis moi. »
Jeff s’exécuta. Il se surprit lui-même à suivre sans broncher cet inconnu. N’importe quel autre habbo lui aurait parlé ainsi, il serait parti sur le champ. Mais là, c’était différent.
Il le suivit jusqu’au bout d’un couloir, au troisième étage. La porte s’ouvrit sur un bureau spacieux, au plafond si haut que le bureau HC planté au milieu de la salle sombre paraissait impressionnant.
« - On va aller directement au but. Je cherche quelqu’un pour remplacer un serveur au bar du Club Massiva, une discothèque du cinquième étage. Ranges ça, ordonna Norman. Ca me sera d’aucune utilité. »
Jeff venait de sortir son curriculum vitae, qu’il rangea rapidement. Ca l’arrangeait, vu la taille de la partie Expérience Professionnelle.
« - Ton grand père m’a dit que tu étais libre de tout engagement, en ce moment. Ca tombe bien, j’ai besoin de toi pour ce soir. Je veux te voir à 18 heures devant le Club, et pas de retard. C’est compris ?
- Oui, Monsi…. Euh Norman !
- A tout à l’heure, Petit. »L’homme lui sourit, ou du moins Jeff l’interpréta ainsi. Il l’accompagna jusqu’à la porte du bureau. Jeff rejoignit son grand père à la pizzeria Pipo, puis arrivé dans la rue, Sam lui demanda comment s’était passé l’entretien. Son petit fils lui fit un résumé, en insistant bien sur le côté mystérieux de la scène.« - C’est un grand homme, ce Norman. Tu vas voir, il va te plaire. Vous allez bien vous entendre. Arrivé à la station, son grand père lui tapota l’épaule.- Je suis fier de toi, tu vas devenir un homme. Si ton père était encore là pour te voir… »Puis il repartit en direction de son appartement.Jeff ne le savait pas encore, mais c’était la dernière fois qu’il voyait son grand père vivant…

N'oubliez pas, il a 20 magots à la clefs.

Toujours d'actualité le concours ? :doute:

Sa doit faire mal aux doigts.

C'est un nouveau.
Moi,je veux bien utiliser ma belle plume,mais on peut faire une histoire avec un personnage qu'on a déjà utilisé dans une histoire ?
Et aussi,on peut raconter les commerces estorquer,les vendettas... ? :help:
Hep' Eazy toi aussi t'es un fan de Eazy-E ?

C'est déjà fini Sonny depuis un bail... J'ai même gagné... J'attend d'ailleur toujours ma récompense...

:o Alors le vieux sujet à été réveillé ?

La suite ?

Sonny, oui je suis fan d'Eazy E et de N.W.A. 8)